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Le 15 mars 2019, 51 musulmans étaient assassinés dans deux mosquées à Christchurch en Nouvelle-Zélande, par un suprématiste blanc, au cours du plus grand attentat antimusulman du monde occidental.
51 morts et 489blessés graves dont plusieurs femmes et enfants. C’était le tragique bilan du double attentat commis en Nouvelle-Zélande contre la mosquée d’Al Noor et le centre islamique de Linwood dans la ville de Christchurch, le plus grand attentat antimusulman dans le monde occidental.
Une tuerie de masse inédite dans l’histoire de l’île. Selon les déclarations du Premier ministre Jacinda Ardern, citée par Le Monde, « il est clair qu’on ne peut que décrire cela comme une attaque terroriste ».
Les rescapés décrivirent des scènes de massacre insoutenable, avec des corps d’enfants et des mares de sang. Trois hommes avaient été arrêtés dont un suspect âgé de 28 ans qui a justifié ces attentats au nom d’une théorie du grand remplacement diffusé sur un compte twitter.
Le terroriste, auteur des tueries, répondant au nom de Brenton Tarrant, est un suprémaciste blanc condamné à la prison à perpétuité.
Des cérémonies sous très haute surveillance ont été organisées en Nouvelle-Zélande pour commémorer l’évènement tragique en présence de familles des victimes qui ont apportées leur témoignage avec une émotion perceptible.
La semaine dernière, un individu âgé de 27 ans a été interpellé par la police locale et arrêté pour menaces de mort prononcée contre ces deux mosquées.
